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1.
Topics in Antiviral Medicine ; 30(1 SUPPL):122, 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1880385

ABSTRACT

Background: More than 10% of patients infected with SARS-CoV-2 experience a Long COVID syndrome, characterized by the persistence of a diverse array of symptoms where fatigue predominates. The role of the adaptive immune response in Long COVID remains poorly understood, with contrasting hypotheses suggesting either an insufficient antiviral response or an excessive immune response that would trigger autoimmune damage. To address this issue, we set to characterize humoral and cellular responses in Long COVID patients prior to SARS-CoV-2 vaccination. Methods: Long COVID patients (n=36) were included based on (1) an initial SARS-CoV-2 infection documented by PCR or the conjunction of two major signs of COVID-19 and (2) the persistence or resurgence of symptoms for over 3 months. They were compared to convalescent COVID patients with resolved symptoms (n=23) and uninfected control individuals (n=20). IgG and IgA antibodies specific to the SARS-CoV-2 spike were detected by a sensitive S-flow assay, which measures antibody binding to spike-expressing 293T cells. For CD4+ T cell response analyses, cytokine production was measured by intracellular staining on primary T cell lines stimulated by immunodominant peptides derived from the S, M, and N viral proteins. Results: Antibody analyses revealed either strong or very low/undetectable amounts of spike-specific IgG in sera from Long COVID patients, thus distinguishing a seropositive and a seronegative group. Seropositive Long COVID patients (n=21) showed strong CD4 responses that tended to be of higher magnitude than those of convalescents (P<0.05 for 2 immunodominant peptides). In contrast, seronegative Long COVID patients (n=15) showed low or undetectable CD4+ T cells responses, with 4/15 patients showing responses above those observed in healthy donors. CD4+ T cell responses correlated with spike-specific IgG responses in seropositive Long COVID patients (P≤0.002) but not in convalescents, pointing to differences in immune memory persistence. Conclusion: These findings highlight divergent adaptive immune responses among Long COVID patients, with a group characterized by seroconversion and particularly strong CD4+ T cell responses, and a second group characterized by low or undetectable antibody and cellular responses. Further studies are warranted to determine whether the etiology and the duration of symptoms differ in these two groups of Long COVID patients.

2.
Medecine et Maladies Infectieuses ; 50 (6 Supplement):S78, 2020.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-831561

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2020

3.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726753

ABSTRACT

Introduction Les manifestations persistantes ou résurgentes de COVID-19 survenant plus de 2 à 3 semaines après un premier épisode sont extrêmement diverses et encore mal connues. Matériels et méthodes Une consultation post-COVID a été ouverte à l’Hôtel-Dieu depuis mai 2020 pour les patients (pts) souffrant de symptômes prolongés ou résurgents de COVID. Un recueil était fait selon un questionnaire préétabli, après obtention de l’accord oral des pts. Ils étaient inclus en cas de diagnostic d’infection confirmée à SARS-COV-2 et après exclusion d’un diagnostic différentiel. Le diagnostic de COVID était retenu devant : RT-PCR et/ou une sérologie positive et/ou scanner thoracique initial typique de COVID et/ou contact avec un cas confirmé par PCR associé à 2 signes majeurs (anosmie, toux, fièvre, dyspnée). Résultats Parmi les 58 pts vus en consultation entre le 20 mai et le 12 juin 2020, 26 avaient un diagnostic de COVID confirmé par RT-PCR (n=15), sérologie (n=8), scanner thoracique typique (n=1) et/ou présence de deux signes majeurs avec contage (n=2). Il s’agissait de 19 (73,1 %) femmes et 7 (26,9 %) hommes, d’âge moyen 46 ans (22–75). Quatre sur 23 (15,4 %) pts avaient un antécédent de pathologie auto-immune et 11 (42,3 %) un terrain d’allergie. Les symptômes initiaux les plus fréquemment retrouvés étaient : fièvre (n=19, 73,1 %), toux (n=18, 69,2 %), anosmie (n=17, 65,4 %) et céphalées (n=16, 61,5 %). Seuls 4/23 (17,4 %) pts ont été hospitalisés. Un intervalle libre entre le 1er épisode et les épisodes suivants a été noté dans 11 cas avec une durée de 13±10jours, en moyenne. Lors du 2e épisode une persistance des symptômes du premier épisode était notée dans 11 cas, une réapparition de ces mêmes symptômes dans 16 cas et l’apparition de symptômes différents dans 18 cas. Lors des épisodes tardifs, les symptômes étaient intermittents dans 35 % des cas (n=7/20). 22 patients (84,6 %) étaient apyrétiques. Les symptômes les plus fréquents rapportés étaient : – au moins 1 symptôme neurologique (21 pts, 80,7 %) : psychocognitifs à type de troubles de la mémoire, de la concentration, de l’humeur, somnolence (n=17) ;sensoriels à type de céphalées, trouble de l’équilibre, fourmillements, brûlure et douleur neurogène (n=35) ;trouble de la déglutition et de l’élocution (n=2) et dysrégulation thermique (n=2) dont 4 ont eu une IRM cérébrale qui est redevenue normale ;– des symptômes cardiovasculaires, pour 20 pts (76,9 %), à type d’oppression et douleurs thoraciques, palpitations, dyspnée d’effort et toux ayant conduit au diagnostic de péricardite et/ou myocardite (n=5 cas) ;– et une asthénie souvent majeure (16 cas, 61,5 %). La PCR SARS-COV-2 était souvent négative (n=14/21, 66,7 %) lors que la sérologie SARS-COV-2 était le plus souvent positive (15/23, 65,2 %). Conclusion Les myopéricardites évoquent un syndrome post infectieux de nature dysimmunitaire, tandis que des recherches approfondies doivent être menées sur les atteintes neurologiques pour lesquelles une atteinte virale directe ne peut être exclue.

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